Son dancefloor vide la nuit du 31 décembre lui fait « froid dans le dos ». Privé de clientèle depuis neuf mois, le patron du Monseigneur, institution des nuits bordelaises, tente de « garder le lien » avec les clubbeurs le temps de lives Instagram, remèdes d’un soir à sa « situation catastrophique » causée par le Covid-19. Po…
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Son dancefloor vide la nuit du 31 décembre lui fait « froid dans le dos ». Privé de clientèle depuis neuf mois, le patron du Monseigneur, institution des nuits bordelaises, tente de « garder le lien » avec les clubbeurs le temps de lives Instagram, remèdes d’un soir à sa « situation catastrophique » causée par le Covid-19. Po…